dimanche 29 janvier 2012

La santé café

Il s'agit d'écouter la vidéo et de répondre aux questions suivantes.
J’ai choisi une personnalité qui a du mal à mener une vie sans boire du café !
Amusez-vous bien !






-   Un copain à toi a commencé à boire du café! Qu’est-ce que tu lui dis pour le convaincre d’arrêter ? (en pair)
-   Connaissez-vous d’autres dépendances qui menacent la santé de l’homme? Comment est-ce qu’on peut prévenir les jeunes par le risque de dépendance ? (en groupe de trois personnes)
(Révisez  l’unité sur la santé et les dépendances)

Obeisité

Comprehension ecrite

Compréhension écrite

Ecrivez VRAI ou FAUX à chaque reponse.

Verifiez!
Obésité : la télé est-elle coupable?
Les enfants obeses font trop peu de sport, manquent parfois de sommeil et ont tendance à grignoter. Au banc des accusés : la télévision. Mais le petit écran est-il vraiment le seul responsable ?


Un Américain sur quatre ne passe pas la porte d’un ascenseur. En France, nous n’en sommes pas là, mais nos enfants sont déjà la mauvaise pente… Pour preuve les chiffres que brandissent les scientifiques : en dix ans, l’obésité, des petits Français a augmenté de 17%. Et l’obésité importante a progressé de 28%. Des statistiques qui se vérifient dans tous les pays industrialisés, Et pourtant en une décennie, nos gènes n’ont pas changé. C’est donc dans notre mode de vie qu’il faut chercher la faille. « Globalement, 30% de la corpulence est explicable par la génétique et 70% par l’environnement, ce qui laisse une bonne part de responsabilité à nos habitudes alimentaires », souligne le docteur Jacques Fricker, nutritionniste. C’est vrai pour un grand nombre d’entre nous : on ne mange plus trois fois, on grignote : on fait moins de sport, on ne marche plus, on se déplace en voiture. Et les enfants n’échappent pas à ces comportements. Beaucoup accusent la télévision. Face à l’écran le jeune est immobile. Matraqué par des publicités qui vantent les mérites de sodas, de pizzas, et de gâteaux de tout genre, il a de plus tendance à grignoter. Plusieurs études américaines ont montré que le surpoids était proportionnel au nombre d’heures passées devant le petit écran. Des chercheurs de l’université de Harvard affirment que 60% des cas d’obésité infantile sont liés à un abus de télévision et que les enfants qui restent devant leur poste plus de cinq heures par jour en moyenne 5,3 fois plus de risques de devenir obeses que ceux qui le regardent moins de deux heures. « C’est la sempiternelle question de l’œuf et de la poule explique le docteur Philippe Froguel, généticien spécialiste de l’obésité à l’institut Pasteur de Lille : est-ce que la télévision empêche de bouger et de se dépenser et de ce fait favorise le surpoids ? Ou bien les enfants déjà gros, peu enclins à faire du sport la regardent-ils davantage ? Je pense que le petit écran n’est qu’une conséquence de mode de vie et en particulier de la sédentarité trop importante de certains jeunes. » Certains incriminent la télé parce qu’elle diminue le nombre d’heures de sommeil des plus jeunes et des adolescents. Une étude a montré que les enfants qui dorment moins de dix heures par nuit ont cinq fois plus de risques d’être gros. Hypothèse avancée : combustion des graisses a lieu principalement la nuit, car elle s’effectue sous la dépendance de l’hormone de croissance, secrétée prioritairement pendant la nuit et notamment pendant les phases de sommeil lent. La réduction du temps de sommeil entrainerait une diminution du taux d’hormone de croissance et par conséquent de la combustion de graisses, ce qui provoquerait une tendance au surpoids. Mais ce n’est qu’une éventualité. Sans oublier que le manque de sommeil d’un enfant n’est pas toujours causé par les soirées tardives devant la télé Les ordinateurs, les jeux vidéo et les livres sont aussi en cause. Dans ce que l’on peut appeler une « épidémie » d’obésité, la télévision a sans doute des torts, mais elle ne peut pas être accusée de tous les maux. Reste qu’il est inadmissible, tant pour la santé que pour le poids, que les enfants bénéficient d’une heure d’activité physique par jour, bannissent le grignotage et ne soient pas en dette de sommeil.
Brigitte Fanny Cohen
Source: Safrane

1. Le document contient:

a. Un chapeau
b. Une notice informative
c. Le nom de l’auteur
d. Des questions
e. Des intertitres

2. Que signifient les mots suivants?
v Obésité

a. Surpoids
b. Situation d’un homme étant maigre
c. Grignotage

v Abus
a. Usage excessif
b. Usage souhaitable et acceptable

v Eventualité
a. le but
b. la possibilité
c. la finalité

3. Quel est le sens des verbes suivants?
diminuent
a. réduisent
b. progressent
c. prolifèrent

N’échappent pas
a. N’évitent pas
b. N’adoptent pas
c. Ne permettent pas









Les jeunes plébiscitent pour l’Internet

Les jeunes plébiscitent pour l’Internet

Completez avec le pronom relatif qui convient.

Verifiez!
Lisez le texte, puis écrivez la réponse qui convient. Ecrivez VRAI OU FAUX.


Faut –il en rire ou en pleurer ? En rire, surement. S’en réjouir même. Les jeunes n’ont pas perdu la foi dans un monde meilleur. Seulement, aujourd’hui, ce n est plus à coups d’idéologie qu’ils se construisent un avenir radieux. Mais à coups de technologie! Internet à la place de Marx ! La Silicon Valley nouvelle terre promise...Exagéré ? A peine. Un sondage réalisé par France Telecom et la Sofres, avec « le Nouvel Observateur », montre que les jeunes de 15 à 25 ans plébiscitent littéralement le réseau informatique planétaire. Les trois quarts d’entre eux estiment qu’avec l’Internet le monde va devenir « meilleur ». Un jugement porte aussi bien par les pratiquants que par les non-pratiquants. Ou est donc cette peur que les nouvelles technologies sont censées faire naitre ? Elle n’est en tout cas pas perceptible chez ces jeunes qui, pour la première fois peut-être de l’histoire industrielle, sont les principaux acteurs d’une mutation. Parmi les troupes qui rallient le web, ce sont les plus positifs. En France, la courbe des internautes devrait, selon les experts, suivre désormais, la même pente ascensionnelle que celle des téléphones portables.

Une vraie explosion. A ce rythme, prédit le cabinet Mediangles, la France, qui affiche aujourd’hui quelques 3 millions d’internautes, en compterait 10 millions en l’an suivant. Il n’y a pas de raison de douter de ces prévisions quand on voit les résultats de sondage. Certes, l’échantillon choisi par la Sofres est plus « branche » que la plupart des jeunes français : chez les 15-25 ans, le taux moyen des internautes s’élève à 11% alors qu’il est ici de 30%. Mais qu’importe, puisque l’écart entre les réponses des internautes et celles des non-internautes est presque toujours très faible. Les deux populations réagissent de la même façon pour qualifier cette société dont l’internet va accoucher. A une très forte majorité, ils l’estiment « plus ouverte », « plus communicante », « plus libre ». Mais en même temps, ils ne se font pas d’illusions. L’internet, ce n’est pas Jésus-Christ ! Les internautes pensent, à 63%, que la société deviendra plus individualiste, et une infime minorité, qu’elle sera plus juste ou plus généreuse. Même quasi-unanimité lorsqu’il s’agit de définir les sentiments que leur inspire le réseau. Moins du quart des internautes, comme de non –internautes, retient des mots négatifs tels que « ennui », « déception », « agacement ». En revanche, la plupart d’entre eux éprouvent de la « curiosité », de l’ « intérêt » ou de l’ »enthousiasme ». C’est rare que dans un sondage, des termes aussi forts provoquent autant d’adhésion. Même chez les non-internautes, il n’y en a que 18% pour retenir l’expression « prise de tète ». Mais en définitive, c’est le mot « cool » qui, pour les jeunes, symbolise le mieux l’internet. Va donc pour « cool » …. Mot-clé de cette génération qui peut faire vendre aussi bien de planches à voile que des glaces Häagen-Dazs ou des abonnements à l’internet. Pourvu que ça glisse, pourvu que ça plane, pourvu que ça surfe… Ecoutez Florence, 21 ans étudiante en philo : « Avec le net, on se connecte avec une infinité des choses. » Jean-Marc, 24 ans, étudiant en informatique : « Le réseau, c’est la communication pas cher avec les quatre coins de la planète. »Bertrand, 19ans, étudiant en économie : « J’ai vu une démonstration qui m’a donne envie. Du coup, j’ai plongé. »


Christine MITAL
Le nouvel Observateur


1 Donnez un autre titre.

a. Les jeunes votent pour l’internet.
b. Les jeunes sont opposés à l’internet.


2. D’après bon nombre de jeunes, quelle conséquence négative l’internet aura-t’il sur la société ?

§ La société va devenir plus fermée et solitaire.
§ Les jeunes vont devenir plus cool.
§ La société va se disparaitre.

3. Citez les sentiments positifs que l’internet inspire aux jeunes :

• Enthousiasme
• Agacement
• Curiosité
• Ennui
• Déception

4. « L’internet ce n’est pas Jésus Christ » Comment comprenez-vous cette phrase ?

L’internet n’a pas une théorie comme celle de Jésus de l’Histoire religieuse.
L’histoire de l’internet ne s’étend pas comme celle de Jésus Christ.

5. Quel rapport l’internet a-t-il avec le téléphone portable?

o Les experts remarquent que l’internet et le portable sont deux moyens contemporains à communiquer.
o Les experts pensent que comme aujourd’hui on a les téléphones mobiles, dans les années suivantes on aura l’internet.
o Les recherches prouvent que tous les deux se trouvent en voie de progression.

Vocabulaire
Plébisciter : approuver à une très forte majorité
Web ou world web : toile d’araignée mondiale : système de navigation permettant de consulter les serveurs du monde entier sur Internet.

Les pronoms relatifs simples et composés


les pronoms relatifs simples et composés

les pronoms relatifs simples et composés

Completez le verbe qui convient.

Verifiez!
Choisissez un pronom relatif simple (qui, que, où, dont).

1. J’habite un joli village (qui, dont, où) toutes les maisons sont en pierre.
2. Elle a acheté une grande maison (où, que, dont) elle est fière.
3. Le village (que, qui, dont) il habite, est très calme.
4. C’est moi (que, dont, qui) ai dit ça.
5. Paris, c’est la ville (où, que, dont) je préfère.
6. Le livre (dont, que, qui) tu viens de lire la dernière page a été écrit par une amie.
7. On a institué des contrôles anti-alcool dans les discothèques (qui, où, que) fréquentent les jeunes.

Complétez avec un pronom relatif composé (La préposition qui convient +lequel).

1. Il m’a donné des explications je ne comprends rien.
2. J’adore le film il joue.
3. Les enregistrements nous travaillons sont authentiques.
4. Dis-moi la date tu penses venir.
5. Le canapé tu es assis appartenait à ma grand-mère.